Nous n'arrêtons pas de le parcourir depuis dix jours.
AAvec la joie de voir s'élever de temps en temps un tourbillon de sable.
ou quelques chameaux.
Il est souvent strictement minéral,
et parfois on voit de hautes montagnes dans le lointain.
Mais le plus frappant sont les travaux gigantesques pour l'irriguer, le planter d'arbres et le transformer en terres agricoles.
Cela se traduit pas des millions de peupliers qui apparemment se contentent de peu d'eau.
Et dès que cela est possible des champs sont formés et cultivés.
Hier, nous avons traversé au sud de Kuqa, une zone de cent kilomètres qui a été gagné sur le désert, grâce à de nombreux canaux qui amènent de l'eau et là, ils forment de très grandes parcelles (contrairement à l'habitude ancestrale chinoise) cultivées avec du matériel, tracteurs et charrues, qui n'a rien à envier à celui que l'on utilise en Europe.
Au milieu, pousse une ville qui n'a sans doute aujourd'hui que cent mille habitants mais qui a été prévue pour cinq cents mille et qui les aura sûrement bientôt.
Commentaires
Le désert est quelque chose qui m'a toujours fascinée!! Mais on pourrait se demander si c'est bien raisonnable de le transformer en champs quand on sait que l'eau est en train de devenir une matière rare!
Bisous