Jusqu'à présent c'était aride, depuis notre arrivée au Gansu, mais, sitôt dépassée la grande muraille (qui n'était pas là par hasard), c'est le désert, ce qui est tout autre chose, et vraiment fascinant quand on fait trois cent kilomètres sans rien voir d'autre que des cailloux, la route devant soi et des poteaux télégraphiques.
Bien sûr, il y a quelques oasis, mais pas beaucoup et on apprécie d'autant plus les abricotiers et jujubiers en fleurs de Dunhuang.
Commentaires
C'est bien la première fois que je vois des photos de la Chine sans la sensation d'une pression démographique!