Ça doit être parce que nous avons trop lu dans notre enfance les récits des temps mérovingiens d'Augustin Thierry (qu'on recevait presque à coup ssûr comme prix d'excellence en classe de quatrième ou troisième) que nous adorons les chars à bœufs et nous avons eu la chance d'en provoquer un embouteillage à dix kilomètres Manaday.